The big chill

Inséparables pendant leurs études dans les années 1960, Sam, Sarah, Michael, Karen et les autres se retrouvent une douzaine d’années ans plus tard, le temps d’un week-end, réunis enà la mémoire d’Alex, le meilleur de la bande, qui vient de se suicider. Des huit, ils n’en restent plus que sept, tous profondément troublés par la disparition prématurée de leur ami. Tandis que les heures s’écoulent, les gestes d’autrefois reprennent le dessus. On réécoute des musiques familières, on s’étonne de ce qu’on est devenu, alors que ressurgissent désirs oubliés et vieilles jalousies…

LA CHRONIQUE TENDRE, DRÔLE ET ÉMOUVANTE D’UNE GÉNÉRATION

Au son d’une bande originale riche des plus grands tubes des sixties, Lawrence Kasdan (La Fièvre au corps, Silverado) réalise avec Les Copains d’abord une œuvre attachante, un film choral dont les protagonistes bénéficient de l’interprétation d’une pléiade de comédiens promis à un bel avenir, de Glenn Close (Les Liaisons dangereuses) à William Hurt (Gorky Park) en passant par Jeff Goldblum (La Mouche), Tom Berenger (Platoon) et Kevin Kline (Un pPoisson nommé Wanda). Désormais culte, Les Copains d’abord a été nominé aux Oscars du Meilleur Film, du Meilleur Scénario et de la Meilleure Comédienne pour Glenn Close.